Notre comportement dans la vie de tous les jours est très complexe : une évaluation de situation ou une prise de décision sont liées à nos différents cerveaux (intelligences), à des équilibres subtils et pas seulement à quelques capteurs sensoriels ou cognitifs, ni à quelques raisonnements logiques et simplistes.
Il s’agit de définir le concept d’« Intelligence Artificielle » et ses apports dans la société. On l’intègrera aux processus collectifs liés à notre nouvel environnement… aux nouvelles technologies, telles que le Big Data, Wikipedia, les supercalculateurs… qui débouchent sur la « robotique cognitive ». Quelle est alors la place de l’homme ?
La capacité de l’homme à survivre requiert d’agir vite et de s’adapter grâce à son tissu de connaissances et d’influences via les réseaux sociaux ou les nouveaux outils de communication. Cela concerne l’Intelligence Connective qui va bouleverser nos modes de pensée et d’action.
Il s’agira de montrer comment évoluer du techno-conservatisme vers plus de modernité, de réalité et de positivisme. L’IA du futur devient dès lors un problème de gouvernance et d’éthique.